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Legestr glaz

Legestr glaz

J'en pince pour vous

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  • Premier article le 30/06/2016
  • Modérateur depuis le 09/03/2017
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Derniers commentaires



  • Legestr glaz Legestr glaz 16 mai 22:22

    @PaulAndréG (PàG)

    Non pas des « virus », mais des « méchants virus », des « virus-artefacts », des « épicycles biologiques », c’est bien autre chose. Vous devriez le mesurer ! 

    Les « épicycles de Ptolémée » capturent parfaitement le problème de la chaîne d’inférences en virologie : chaque nouveau coronavirus, du SARS-CoV-2 aux coronavirus saisonniers, est identifié en s’appuyant sur des références antérieures, elles-mêmes basées sur des observations initiales (années 1940-1950) potentiellement imprécises. Cette accumulation d’hypothèses, sans contrôle rigoureux des sources alternatives ni validation indépendante, évoque les épicycles ptolémaïques, qui complexifiaient le modèle géocentrique sans résoudre ses contradictions. Les coronavirus connus utilisés pour le SARS-CoV-2 (SARS-CoV-1, MERS-CoV, RaTG13, coronavirus saisonniers) reposent sur une chaîne remontant à des méthodes rudimentaires, ce qui introduit une incertitude fondamentale et questionnable.

    Les nanoparticules de la pollution atmosphérique sont des« agents pathogènes » au sens premier du terme. Et la dynamique de la maladie que provoquent les nanoparticules est bien identifiée. Les nanoparticules descendent dans l’environnement alvéolaire. Les macrophages et les neutrophiles appelés en renfort produisent des espèces réactives à l’oxygène. Par manque d’anti-oxydant, ou par faiblesse préalable de l’épaisseur du glycocalyx, celui ci ne remplit plus ses fonctions, la SOD3 s’échappe (un très puissant antioxydant). Les alvéoles s’effondrent. Les embolies pulmonaires, les thromboses, les oedèmes, l’hypoxie, la détresse respiratoire aiguë, la sur-infection bactérienne réactive et les tempêtes de cytokines systémiques se développent (la tempête de cytokines est une réponse physiologique à une infection ou à une maladie, au cours de laquelle le système immunitaire naturel libère de grandes quantités de cytokines dans le sang. Tout cela se produit rapidement et constitue un problème de santé catastrophique. Cette réponse immunitaire est également connue sous le nom d’hypercytokinémie, syndrome de tempête de cytokines).

    Certains, et même beaucoup, en meurent. Et le constat veut que les personnes les plus atteintes sont celles qui présentent, au préalable, un glycocalyx dégradé. Et le constat veut que ces épisodes de maladies infectieuses s’inscrivent dans le cadre des inversions thermiques et d’une qualité de l’air dégradée. Dans ce mécanisme, les agents pathogènes sont inertes mais violents !

    Il se produit exactement la même chose lors des « asthmes d’orage ». Ce sont des nanoparticules qui descendent dans les alvéoles pulmonaires, provoquent des rhinites, de l’asthme et peuvent entrainer la mort.


    Mais n’ébruitez pas tout ceci. Nous sommes entre nous. Vous imaginez si les gens avaient connaissance de ça ? La « vaccination serait une cautère sur une jambe de bois ». Il ne faudrait pas tuer la poule aux oeufs d’or.


    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/17256154/


    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30243030/



  • Legestr glaz Legestr glaz 16 mai 21:52

    @pemile

    Bonjour pemile, puisque vous êtes là et que vous évoquez les « virus », les « méchants virus », les « très méchants virus » ! 

    Nous avons toutes les preuves que la pollution atmosphérique rend les gens malades. Et pourtant, nous refusons obstinément d’en tirer les conclusions systémiques. Le jour où ce paradigme sera accepté, les cartes de pollution remplaceront les bulletins épidémiques, les purificateurs remplaceront les antiviraux, la prévention deviendra environnementale, pas « vaccinale ».

    Chaque année, des millions de personnes dans le monde souffrent de rhinites, bronchites, bronchiolites, crises d’asthme ou de ce qu’on appelle communément « grippe » ou « covid ». La cause officiellement invoquée est un agent infectieux, la plupart du temps un méchant virus.

    Mais qu’en est-il des données ? Qu’en est-il des observations de terrain ? Des épisodes récurrents d’« asthme d’orage », de « pics de bronchiolites hivernales », de « poussées de grippes » associées à des « inversions thermiques » ou à des hausses de pollution et à la dégradation de la qualité de l’air, qui nous rappellent sans cesse une vérité qu’on refuse de voir : l’air que nous respirons est pathogène. Le « pathogène est là devant nous yeux ! D’ailleurs les surveillances satellitaires peuvent désormais »prévoir« le déplacement des masses d’air pollué. Elles peuvent prévoir l’arrivée des inversions thermiques, elles peuvent prévoir leur étendue et les régions concernées, elles peuvent prévoir leur durée, elles peuvent prévoir les pics épidémiques et la sur-fréquentation hospitalière.

    Certains phénomènes environnementaux récurrents devraient suffire à ouvrir les yeux. L’asthme d’orage, par exemple, provoque des crises respiratoires massives dès que l’air se charge d’humidité, de pollens explosés en nanoparticules et de particules fines. Les bronchiolites hivernales, souvent attribuées à des méchants virus, coïncident systématiquement avec des inversions thermiques et des hausses de dioxyde d’azote. Les pics d’ozone en été entraînent toux, gêne respiratoire et même hospitalisations. La pollution urbaine chronique est liée à des rhinites, des sinusites et une fatigue persistante. Dans chacun de ces cas, la cause environnementale est objectivable, mesurable, réplicable. Et pourtant, la narration dominante reste : »c’est un méchant virus« .

    Et si les rhinites, les bronchiolites, les angines, les »grippes« , les covid, n’étaient pas des infections virales transmises de personne à personne, mais des inflammations de muqueuses provoquées par l’air vicié que nous partageons ? Ce paradigme offre une autre vision : ce ne sont pas les contacts interhumains qui nous rendent malades, mais notre contact commun avec un environnement dégradé. Ce n’est pas un méchant virus qui se transmet, mais des atteintes immunitaires provoquées par les nanoparticules, les pollens altérés, les gaz irritants, les matières particulaires PM2,5, PM1, PM0,1, avec effondrement alvéolaire à la clé.

    Les nanoparticules de pollution, bien qu’elles aient été reconnues pour leur potentiel toxique, n’ont pas été immédiatement vues à travers le prisme de la cytopathie virale, malgré leurs effets similaires. Elles ont cependant un impact sur les cellules humaines, en induisant des phénomènes comme l’inflammation, le stress oxydatif, et l’activation du système immunitaire, qui sont souvent des réponses à des infections virales. Ainsi, bien que ces nanoparticules ne soient pas des »agents vivants« , leur capacité à induire des effets cytopathiques et à perturber les fonctions cellulaires remet en question l’idée selon laquelle la pathogénicité nécessiterait un agent biologique »réplicatif« .

    Nous disposons de toutes les preuves empiriques que la pollution atmosphérique est une cause directe, majeure, des affections cardio-respiratoires. Continuer à détourner le regard pour désigner un »méchant virus" hypothétique et invisible revient à abandonner toute possibilité de prévention réelle. Ce n’est pas la contagion que nous devons craindre. C’est la dénaturation de notre environnement

    L’un des paradigmes traditionnels de la biologie infectieuse repose sur la notion selon laquelle la pathogénicité est étroitement liée à la présence d’un agent vivant capable de se répliquer à l’intérieur de la cellule hôte, qu’il s’agisse d’un méchant virus ou d’une bactérie. Dans ce cadre, les méchants virus, par exemple, sont supposés utiliser les mécanismes cellulaires pour se reproduire, ce qui, en fin de compte, détruit souvent la cellule hôte et provoque des effets cytopathiques.

    Cependant, cette vision de la pathogénicité devient de plus en plus réductrice lorsqu’on considère des agressions non vivantes telles que les nanoparticules. Ces dernières, bien qu’elles ne soient pas biologiquement vivantes, peuvent néanmoins avoir un impact dévastateur sur les cellules humaines, perturbant leur fonction, induisant des lésions et déclenchant des réponses immunitaires. Cela suggère qu’il existe un mécanisme de pathogénicité qui peut être induit par des agents non vivants, inertes mais toxiques, ce qui remet en question l’idée même qu’un agent pathogène doit nécessairement être capable de se répliquer pour causer des maladies.






  • Legestr glaz Legestr glaz 15 mai 20:50

    @PaulAndréG (PàG)

    Cela vous dérange que Patrice Bravo se fasse le relai de cet article ??? Quel est le problème ici ?

    ... Alexandre Lemoine

    Les opinions exprimées par les analystes ne peuvent être considérées comme émanant des éditeurs du portail. Elles n’engagent que la responsabilité des auteurs

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  • Legestr glaz Legestr glaz 9 mai 12:26

    @PaulAndréG (PàG)

    Il s’agit, d’abord, d’élargir la fenêtre d’Overton. Le reste suivra.

    ... Une idée initialement jugée extrême, ou inacceptable, peut être progressivement introduite dans le débat public, puis normalisée et acceptée en déplaçant les limites de ce qui est considéré comme acceptable...



  • Legestr glaz Legestr glaz 7 mai 19:25

    @Francis, agnotologue

    « Notre époque n’est pas que post-communiste, elle est aussi post-démocratique. Nous assistons aujourd’hui à l’instauration du totalitarisme démocratique ou, si vous préférez, de la démocratie totalitaire. » »Alexandre Zinoviev. 
    L’oxymore « démocratie totalitaire »ou « totalitarisme démocratique »vise à dénoncer une contradiction entre les principes affichés de la démocratie (liberté, pluralisme, souveraineté populaire) et les pratiques réelles du pouvoir.

    Zinoviev écrit dans les années qui suivent l’effondrement de l’URSS. Selon lui, l’Ouest a vu dans cet effondrement une victoire définitive du système démocratique et capitaliste. Mais Zinoviev pense au contraire que cette victoire a permis une nouvelle forme de domination, plus insidieuse : l’ancien totalitarisme était visible et brutal ; le nouveau est masqué par les institutions démocratiques.

    Zinoviev estime que les démocraties occidentales ont progressivement glissé vers un système où le pluralisme est de façade, les choix électoraux étant limités à des partis qui partagent les mêmes bases idéologiques (économie de marché, mondialisme, etc.). L’opinion publique est façonnée par des médias dominés par de forts intérêts économiques et politiques. La surveillance et le contrôle social s’accroissent sous couvert de sécurité, de santé ou de lutte contre les « discours de haine ». Preuve, la reconnaissance faciale qui arrive à grands pas. La liberté d’expression existe en théorie, mais ceux qui s’écartent du discours dominant sont marginalisés, censurés ou diffamés.

    Zinoviev parle alors de « totalitarisme démocratique »pour désigner une société où l’idéologie dominante est imposée, non par la terreur, mais par la persuasion, l’endoctrinement, et l’isolement de la dissidence, tout en maintenant les apparences de la démocratie.


    Selon Zinoviev la confiscation des débats d’idées est l’un des piliers de ce qu’il appelle la démocratie totalitaire. Ce n’est pas tant la répression directe, comme dans les régimes totalitaires classiques, qui permet de faire taire les opposants, mais une série de mécanismes subtils. 

    Le débat semble exister, mais dans un cadre très restreint, où les opinions vraiment divergentes sont disqualifiées comme : « complotistes », « réactionnaires », « populistes », ou « dangereuses pour la démocratie ». Ce glissement transforme la démocratie en une « idéocratie », où une idéologie dominante s’impose sans discussion véritable.

    Plutôt que de répondre sur le fond, on moralise  : celui qui s’écarte du consensus est présenté, non comme quelqu’un qui pense différemment, mais comme quelqu’un de moralement fautif. Zinoviev soulignait que cela rendait le débat impossible  : on n’argumente pas avec un « fasciste », un « négationniste », un « complotiste, ou un »ennemi de l’humanité« .

    Les médias de masse, les universités, les ONG et les experts de tous poils, participent à verrouiller le débat en légitimant ce qui est »acceptable« et en excluant ce qui ne l’est pas. Zinoviev y voyait une élite cognitive et morale exerçant un pouvoir sans contre-pouvoirs réels.

    Le » totalitarisme démocratique" agit aussi sur chacun  : par peur d’être exclu, ridiculisé ou marginalisé, on se conforme à la norme dominante, même si on la pense fausse. C’est, pour Zinoviev, une servitude volontaire sous les traits de la liberté.





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