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Commentaire de Daniel PIGNARD

sur L'Union européenne sous la botte d'un « gouvernement des juges » inféodé aux multinationales ?


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Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 20 juillet 2020 08:59

@JC_Lavau

Les blagues de l’Antarctique : Une couche dans les glaces = une année.

Ils aiment vous berner les scientifiques et vous en redemandez.

Les scientifiques sur l’Antarctique annoncent 3270 m de glace = 800 000 ans (Est Rép 15 mai 2008), soit 1 m = 245 ans. Sauf que sur le Groenland, un avion chasseur P-38 a été retrouvé à 75 m sous la glace après seulement 46 ans.

Donc très grossièrement, 3270 m dans l’Antarctique = 3270/75*46 = 2005,6 ans. A comparer aux calculs des scientifiques officiels qui trouvent 800 000 ans sans avoir vérifié comment se formaient les strates. De bien piètres scientifiques en vérité puisqu’ils ne vérifient pas leurs hypothèses pourtant facilement vérifiables, l’histoire du P-38 en est la preuve.

http://p38assn.org/glacier-girl-recovery.htm

http://www.samizdat.qc.ca/cosmos/origines/Avion300_DC.htm

Les datations sont en fait très fantaisistes

 http://pleinsfeux.org/antarctique/#.U6AX3ii0OJs

Les études de carottes de glace du « Global Invasive Species Programme », de Camp David, de Vostok et de tous les autres, s’appuient sur le paradigme qu’une couche équivaut à une année. Toutes les analyses isotopiques et chimiques assument cette délimitation fondamentale. La citation révélatrice vient de l’organisateur de l’expédition, « Richard Epps ». Il déclare singulièrement, « Qui vous a dit qu’une couche équivalait à une année ? Nous avons creusé à travers cinquante ans de temps et avons trouvé des milliers de couches dans 250 pieds ».

Voici une interview de Mme M-C van Oosterwyck-Gastuche sur LE CARBONE 14 FACE AU LINCEUL DE TURIN

 

Je fus invitée à parler à la table ronde radiocarbone avec les professeurs Tite et Evin, au premier symposium sur le Linceul de Turin à Paris en 1989. Tout est parti de là.

2) Vous dites dans votre livre que c’est presque toujours la date connue qui décide de la datation radiocarbone. Pouvez-vous préciser ?

 

Réponse : « Pas presque toujours, mais toujours. Ce que j’affirme peut sembler surprenant, aussi vais-je le justifier par un bref historique de la méthode. Lorsque W.F.Libby, physicochimiste de l’université de Berkeley, l’inventeur du chronomètre radiocarbone, mit sa méthode au point, il rechercha ses étalons dans la préhistoire - une science dont il ignorait les fondements. Il fut surpris de constater que celle-ci manquait d’étalons. Il disait, évoquant ses souvenirs : "Le premier choc que nous reçûmes, le Dr. Arnold et moi-même, fut d’apprendre par nos conseillers que l’histoire remontait à 5000 ans à peine. Nous avions cru au départ que nous pourrions obtenir des échantillons s’échelonnant sur quelque 30 000 ans, y placer nos points et terminer ainsi notre travail. On consulte des livres et on y découvre qu’Untel, ou telle société, a défini un site archéologique vieux de 20 000 ans. Nous apprîmes assez abruptement que ces âges n’étaient pas connus : en fait, la dernière date historiquement connue remonte à l’époque de la première dynastie égyptienne."

 

C’est pourquoi il va opérer systématiquement le tri des dates. Ne figureront dans les publications sur le radiocarbone que celles qui correspondent aux chronologies officielles, non seulement les dates historiques fondées sur les généalogies, mais aussi les dates préhistoriques dérivant des principes utopiques que l’on connaît.

http://crombette.altervista.org/fr_c14.htm 


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