@JC_Lavau
Les blagues de
l’Antarctique : Une couche dans les glaces = une année.
Ils
aiment vous berner les scientifiques et vous en redemandez.
Les
scientifiques sur l’Antarctique annoncent 3270 m de glace = 800 000 ans
(Est Rép 15 mai 2008), soit 1 m = 245 ans. Sauf que sur le Groenland, un avion
chasseur P-38 a été retrouvé à 75 m sous la glace après seulement 46 ans.
Donc
très grossièrement, 3270 m dans l’Antarctique = 3270/75*46 = 2005,6 ans. A
comparer aux calculs des scientifiques officiels qui trouvent 800 000 ans
sans avoir vérifié comment se formaient les strates. De bien piètres
scientifiques en vérité puisqu’ils ne vérifient pas leurs hypothèses pourtant
facilement vérifiables, l’histoire du P-38 en est la preuve.
http://p38assn.org/glacier-girl-recovery.htm
http://www.samizdat.qc.ca/cosmos/origines/Avion300_DC.htm
Les
datations sont en fait très fantaisistes
http://pleinsfeux.org/antarctique/#.U6AX3ii0OJs
Les études de carottes de glace du « Global
Invasive Species Programme », de Camp David, de Vostok et de tous les autres,
s’appuient sur le paradigme qu’une couche équivaut à une année. Toutes les
analyses isotopiques et chimiques assument cette délimitation fondamentale. La
citation révélatrice vient de l’organisateur de l’expédition, « Richard Epps ».
Il déclare singulièrement, « Qui vous a dit qu’une couche équivalait à une
année ? Nous avons creusé à travers cinquante ans de temps et avons
trouvé des milliers de couches dans 250 pieds ».
Voici une interview de Mme M-C van Oosterwyck-Gastuche sur LE CARBONE 14 FACE AU LINCEUL DE TURIN
Je
fus invitée à parler à la table ronde radiocarbone avec les professeurs Tite et
Evin, au premier symposium sur le Linceul de Turin à Paris en 1989. Tout est
parti de là.
2)
Vous dites dans votre livre que c’est presque toujours la date connue qui
décide de la datation radiocarbone. Pouvez-vous préciser ?
Réponse :
« Pas presque toujours, mais toujours. Ce que j’affirme peut sembler
surprenant, aussi vais-je le justifier par un bref historique de la méthode.
Lorsque W.F.Libby, physicochimiste de l’université de Berkeley, l’inventeur du
chronomètre radiocarbone, mit sa méthode au point, il rechercha ses étalons
dans la préhistoire - une science dont il ignorait les fondements. Il fut
surpris de constater que celle-ci manquait d’étalons. Il disait, évoquant
ses souvenirs : "Le premier choc que nous reçûmes, le Dr. Arnold et
moi-même, fut d’apprendre par nos conseillers que l’histoire remontait à 5000
ans à peine. Nous avions cru au départ que nous pourrions obtenir des
échantillons s’échelonnant sur quelque 30 000 ans, y placer nos points et
terminer ainsi notre travail. On consulte des livres et on y découvre qu’Untel,
ou telle société, a défini un site archéologique vieux de 20 000 ans. Nous
apprîmes assez abruptement que ces âges n’étaient pas connus : en fait, la
dernière date historiquement connue remonte à l’époque de la première dynastie
égyptienne."
C’est
pourquoi il va opérer systématiquement le tri des dates. Ne figureront dans les
publications sur le radiocarbone que celles qui correspondent aux chronologies
officielles, non seulement les dates historiques fondées sur les généalogies,
mais aussi les dates préhistoriques dérivant des principes utopiques que l’on
connaît.
http://crombette.altervista.org/fr_c14.htm