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Accueil du site > Tribune Libre > Quel bonheur de ne pas être de gauche

Quel bonheur de ne pas être de gauche

 

Qu’il est jouissif d’être un libertarien face aux névroses de la gauche

Quel délice de regarder les gens de gauche s’agiter, prisonniers de leurs tares idéologiques ! Ces âmes tourmentées rêvent d’arracher plus d’argent au riche, plus de droits que leur voisin, plus d’avantages sociaux que le péquin d’en face, plus d’idées pour dépenser l’argent des autres, plus de pouvoir pour contraindre et spolier. Leur obsession ? Mettre l’autre en dépendance, régenter sa vie, trouver normal que chacun vive aux crochets des autres. Toujours définis par l’autre, ils se pavanent avec une prétendue supériorité morale, bercés par l’hypocrisie, la division, les stéréotypes et une mentalité de victime. Ils étouffent les minorités sous leur pensée de groupe, tuant toute indépendance, tout dialogue, toute ambition.

Qu’il est bon, en revanche, de ne pas se définir par l’autre, de ne pas rêver de le plier par la force de l’État ! Qu’il est doux de vouloir sa liberté et celle d’autrui, de savourer son libre arbitre, de ne pas prétendre savoir ce qui est moral pour les autres sans l’appliquer à soi-même. Le socialisme, le communisme, les Verts : tous partagent cette culpabilisation maladive de l’autre, ce dogme rigide face au pragmatisme libéral.

 

Une pauvreté intellectuelle consternante

Leurs politiciens et programmes sont d’une vacuité affligeante. L’individu de gauche n’existe que par opposition : écoutez leurs leaders, tous "anti-libéraux" jusqu’à la nausée, avec leur pitoyable parti "anti-capitaliste" qui ne tient que par des ennemis réels ou inventés. L’argent ? Un tabou pour eux, sauf quand il s’agit de rafler une prime sans effort.

Le CO2, bouc émissaire de leur délire

Ils nous accusent de prendre la voiture, de consommer "mal", de respirer et rejeter du CO2 – ce gaz qu’ils diabolisent, oubliant qu’il est essentiel à la chlorophylle, le moteur de la vie sur Terre ! En 2025, les données satellitaires confirment : grâce aux émissions, surtout chinoises et indiennes, la couverture végétale a gagné 5 % depuis 2000, soit 1,5 fois l’Amazonie (NASA, 2024). Mais non, pour eux, nous sommes coupables. Chaque semaine, un nouveau péché écologique nous tombe dessus : consommer, respirer, vivre. Sauf eux, bien sûr, qui se drapent dans leur morale de pacotille, persuadés d’incarner le "bien" humaniste.

Le gauchiste adore contraindre

Mais toujours l’autre. Il rêve d’un monde meilleur avec des interdictions, des taxes, des obligations. La voiture ? Un crime. Les États-Unis ? Le diable incarné – même si le plus pauvre Américain vit mieux que 70 % de la planète. L’énarque de gauche vante notre "formidable système éducatif" tout en expédiant ses gosses étudier à Harvard, ce satanisme yankee. Quant aux autocrates – Staline, Castro, Chavez –, il les excuse : des "dégâts collatéraux" pour la révolution. Les 100 millions de morts ? Un détail. Le Venezuela, hier encensé dans L’Humanité ou Libération, est aujourd’hui un désastre économique, mais la faute est aux Américains, pas au socialisme. 

La censure systémique, arme de l’intolérance

Cette intolérance de gauche s’exprime aussi par une censure systémique, incapable de répondre aux objections autrement que par des attaques personnelles. Au lieu d’arguments rationnels, ils déversent une avalanche de termes disqualifiacateurs pour cacher leur défaite sur le fond – « extrême droite », « raciste », « fasciste » – pour clore le débat. Ces étiquettes, brandies comme des armes, ne visent pas à réfuter mais à réduire au silence, à discréditer toute voix divergente. Cette stratégie, loin de promouvoir le dialogue, polarise et étouffe la liberté d’expression, remplaçant la raison par une moralisation agressive qui trahit leur faiblesse intellectuelle.

 L’idolâtrie des tyrans et l’alliance toxique

Leur fascination pour les pires autocrates de l’Histoire révèle leur dérive morale. Staline, Pol Pot, Che Guevara, Maduro : ces figures, responsables de millions de morts ou de désastres économiques, sont glorifiées comme des héros de la "résistance". Hier, ils vantaient les purges staliniennes ou les camps khmers rouges ; aujourd’hui, ils excusent le chaos vénézuélien de Maduro, toujours sous le prétexte d’un "idéal révolutionnaire". Pire encore, certains s’allient désormais à des islamistes radicaux, injectant le poison de l’israélophobie et de l’antisémitisme dans leurs discours. Cette convergence malsaine, drapée dans une rhétorique de "justice", recycle les vieux tropes haineux contre les Juifs, masqués sous un vernis antisioniste, pour mieux alimenter leur croisade contre l’Occident. 

Prince de l'amnésie et roi du déni

Le gauchiste est un champion de l’amnésie. Corée du Nord vs Corée du Sud, Allemagne de Est vs Ouest Allemagne, Venezuela vs Norvège : à chaque fois, le socialisme s’effondre, mais "ce n’était pas le bon". En 2024, le Venezuela s’enfonce dans la pénurie, et pourtant, ils persistent, rêvant d’un "vrai socialisme" celui c'est le bon, celui du 21eme siècle. Leur solution ? Plus de contraintes, plus de coercition, toujours pour le "bien commun" – c’est-à-dire pour l’autre, jamais pour eux. Eux, les bobos aux privilèges bétonnés et passagers clandestins de l'état, veulent partager… les richesses des autres. 

Libéralisme vs égalitarisme délirant

Pour le libéral, l’égalité, c’est le même traitement pour tous, comme la loi de la gravité : droits et devoirs identiques, résultats propres à chacun. Pour le socialiste, c’est l’égalitarisme forcené : traiter différemment pour égaliser les résultats, au prix de la spoliation légale. Leurs lois, bourrées d’exceptions clientélistes, nourrissent une bureaucratie tentaculaire. L’entrepreneur, libre de son destin, les horrifie ; ils préfèrent le fonctionnaire corseté, dépense inutile se prenant pour un créateur de richesse. 

Mon libre arbitre, leur cauchemar

Le gauchiste veut modeler l’homme par la force, anéantir les différences, instaurer une dictature déguisée en égalité. Merci, mais je refuse. Ma solidarité est volontaire, pas imposée par leurs lois. Ma morale est libre, pas un mimétisme moutonnier. Ils peuvent restreindre ma liberté, ils n’auront jamais mon libre arbitre, forgé par mes efforts. Leur zoo de contraintes ? Je préfère la jungle de la liberté.

 

Alors non, je ne serai jamais de gauche. Leur monde est une illusion utopique qui les a transformé en secte d’hypocrisie ; le mien, une quête de sens.

Méfiez-vous des gens de gauche qui vous veulent du bien, ils préparent souvent votre malheur.et sont les artisans de vos pires ennuis "pour votre bien".


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93 réactions à cet article    


  • Boaz Boaz 24 juin 15:58
    « Si on n’est pas de gauche à vingt ans, c’est qu’on n’a pas de cœur ; si on l’est encore à quarante ans, c’est qu’on n’a pas de tête. »
    Georges Clemenceau

    • Seth 24 juin 16:24

      @Boaz

      Clemenceau était plus connu pour ses traits d’esprit pour sa clarté de vue.


    • Octave Lebel Octave Lebel 24 juin 17:29

      @Boaz

      Sacré Clémenceau.

      Il paraît que votre célèbre formule serait en fait d’Aristide Briand, un socialiste de la 3ème république, comme quoi Hollande a des excuses. Sinon, Clémenceau, homme de droite et anticolonialiste, comme quoi encore du côté de la droite assumée il n’y a pas que des imbéciles, a été plutôt du genre à prononcer ce genre de formule à propos d’un jeune héritier imberbe pas encore en charge de la gestion de sa fortune. Cela arrive paraît-il.Il aurait par ailleurs dit « c’est difficile d’être de gauche quand on a tout ». 

      Ce à quoi, humblement, d’après ce que j’ai observé, j’ajouterai « d’autant plus que ce n’est jamais assez »  smiley

       


    • Seth 24 juin 17:38

      @Octave Lebel

      Vous voyez quand vous voulez et sur des commentaires lapidaires ?  smiley

      Perso j’ai toujours eu un faible pour son commentaire sur la mort de Félix Faure : « Il se voulût César et ne fut que Pompée » (référence à La Mort de Pompée de Corneille). Et cultivé en plus !  smiley

      Je préfèrerais cette droite au ni ni du micronuscule.


    • La Bête du Gévaudan 25 juin 02:35

      @Seth

      on repassera pour la « clarté de vue » de Marx et Pol-Pot... 

      quoi qu’on pense de Clémenceau, il est quand même largement au-dessus du moindre marxiste en matière de clairvoyance... 


    • La Bête du Gévaudan 25 juin 02:41

      @Octave Lebel

      contrairement à une bonne partie de la gauche, les libéraux ont été contre le colonialisme dès le commencement... il faudrait vous mettre un peu à jour en matière de connaissances historiques et politiques... à force de ressasser le bréviaire gauchiste, vous manquez de connaissances... 

      il y a plus comique encore : allez voir les cartes du vote en faveur de l’indépendance algérienne en 1961... ce sont les régions traditionnellement « de droite » qui votent massivement pour l’indépendance de l’Algérie, cependant que les régions traditionnellement « de gauche » votent plutôt contre... 

      « L’Algérie c’est la France » (1954, ministre Mitterrand, l’organisateur de la torture en Algérie)


    • agent ananas agent ananas 25 juin 12:17

      @Seth

      Il faut rappeler les circonstances de la mort de Félix Faure.
      Il aurait été victime d’une crise cardiaque lors de ses ébats avec sa maîtresse dans le Salon Bleu de Élysée.
      Un blow job qui aurait mal tourné ?, d’où l’allusion lapidaire de Clémenceau à propos de « Pompée » ...


    • Buzzcocks 24 juin 16:23

      Etre de droite n’a pas l’air de vous rendre très heureux non plus... vous passez votre temps à gerber, raler qu’on vous spolie tel un Harpagon (bon, faut avoir lu Molière, ce n’est pas donné à tout le monde), à maudir la terre entière, à pondre des textes comme celui ci où vous crachez votre mal être, votre souffrance... 

      Je vous autorise à péter un coup, ça vous ferra du bien, et tant pis pour le CO2... Vous faites peine à voir. Et quand on a comme maitre à penser un mec aussi lugubre que Zemmour, je ne sais pas qui est le plus névrosé sur terre. A s’inventer des ennemis partout, ça tourne à la paranoia. 

      Allez bisous


      • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 24 juin 16:31

        @Buzzcocks
         smiley  smiley

        Une partie du texte «  La censure systémique, arme de l’intolérance » vous concerne.

        « Cette intolérance de gauche ... incapable de répondre aux objections autrement que par des attaques personnelles »


      • Buzzcocks 24 juin 16:53

        @Spartacus Lequidam
        Je ne fais que commenter votre texte... vous êtes mal dans votre peau monsieur et ça m’inquiète. 


      • Buzzcocks 24 juin 16:54

        @Spartacus Lequidam
        Je préfère quand vous publiez des aneries sur les éoliennes qui sont responsables des été chauds... au moins, vous mes faites rire. 


      • Seth 24 juin 17:19

        @Buzzcocks

        La réalité sur des personnes qui « s’expriment » fait parfois froid dans le dos mais il faut bien y faire face. Là c’est grave et incurable : les petites maisons ou une révolution culturelle (bien que je sois pas un mao), j’hésite...

        Mossieu Lequidam est une caricature malheureusement réaliste des extrêmes sots mesquins qui défendent un très haut niveau pour préserver leurs petits avantages de trois fois rien, qu’alors y faire ?

        J’ai bien une idée mais bon...  smiley


      • amiaplacidus amiaplacidus 24 juin 17:22

        @Buzzcocks : « vous publiez des aneries sur les éoliennes ».
         
        Je pense avoir manqué ce morceau d’anthologie de la bêtise.

        S’il avait connu Spartacus Lequidam, Flaubert aurait pu changer le titre de son roman en « Bouvard, Pécuchet et Spartacus Lequidam » tout en lui rajoutant de savoureux chapitres.
        .
        Entre parenthèses, quoique homme de gauche, résolument à gauche, j’aime bien les gens de droite qui sont intelligents et qui ont du talent, tel Flaubert. Mais ils sont rares, très rares, et ce n’est pas un Spartacus Lequidam qui va remonter le niveau.


      • Seth 24 juin 17:41

        @amiaplacidus

        Ce n’est pas un pbm réel, un ami très proche est anar de droite FM. Seulement il n’est pas con et ne se prend pas forcément au sérieux. Et ne prétend pas être Spartacus...


      • amiaplacidus amiaplacidus 24 juin 17:58

        @Seth

        Les anars de droites sont pessimistes, ceux de gauche sont optimistes. La différence semble tenue, mais elle est plus importante qu’il n’y paraît de prime abord.

        Je dois reconnaitre que, face à la bêtise ambiante, il est parfois difficile d’être optimiste.


      • Seth 24 juin 18:57

        @amiaplacidus

        Ça tombe bien, je ne suis pas optimiste, j’espère simplement que le pire attendra que je passe. Eh oui, on en est là.


      • La Bête du Gévaudan 25 juin 02:56

        @Buzzcocks

        vous passez votre temps à gerber, râler qu’on vous spolie tel un Harpagon

        S’approprier le fruit du travail d’autrui, cela s’appelle du vol... c’est pas vous qui passez votre temps à faire des manifs pour « les salaires et les acquis » ? Donc, concrètement, c’est quoi la différence ? Quand un voleur entre chez vous et vous vole le fruit de votre travail, vous êtes contents ? Vous faites comme Jésus : « celui qui te prends ton manteau, donne lui encore ta tunique » ? (bon, faut avoir lu l’Evangile). J’ai pas vu que les CGTo-marxistes, qui parlent toute la journée de leur saint-pognon vivent d’amour et d’eau fraîche... Le fait de légaliser le vol via la loi ne change rien à l’affaire... z’avez jamais vu « la folie des grandeurs » ? Quand Louis de Funès vient prélever l’impôt ? C’est ça le marxisme... prendre autoritairement au travailleur le fruit de son travail pour donner à autrui (les clientèles sociologiques marxistes)... Le travail forcé gratuit, ça porte un nom : l’esclavage. Traiter d’Harpagon celui qui défend son bien légitime, c’est confondre l’avarice et l’épargne... 

        Eh quoi ! vous ne ferez nulle distinction 

        Entre l’hypocrisie et la dévotion ?

        (Molière, Tartuffe)


      • Goldo Du 25 juin 08:03

        @amiaplacidus
        « Les anars de droites »
        Ca n’existe pas les anars de droite.
        Le concept est aussi ridicule que « communistes de droite »...


      • Buzzcocks 25 juin 08:20

        @La Bête du Gévaudan
        Pauvre vieux, je gagne tellement de pognon que je ne sais pas quoi en faire... et si j’en gagne autant, c’est que j’ai pu étudier gratuitement dans le système scolaire français notamment... Certes, il s’écroule mais à mon époque, j’ai pu en bénéficier sans devoir m’endetter de 200 000 dollars comme aux USA. Ou compter uniquement sur mes parents membres de la caste au pouvoir comme en Russie.

        Alors, oui, on peut débattre sur la dépense publique, je n’ai aucun pb là dessus, mais trouvez moi un pays qui fonctionne sans impôt ?

        Mais bon, discuter avec simplet, ça parait difficile. Surtout quand on a comme référence culturelle De Funes qui ne fait rire pratiquement plus personne avec ses grimaces.


      • Fergus Fergus 25 juin 09:23

        Bonjour, Buzzcocks

        « oui, on peut débattre sur la dépense publique, je n’ai aucun pb là dessus, mais trouvez moi un pays qui fonctionne sans impôt »
        En réalité, ce n’est pas une question d’impôts, mais de dépenses contraintes. Dans certains pays, elles sont plus supportées par l’impôt, dans d’autres par la dépense privée.
        Mais au final, rien ne permet d’affirmer que les seconds  notamment dans les systèmes anglo-saxons  sont mieux gérés que les premiers en termes de bien-être de leur population. Il suffit à cet égard de voir l’état de délabrement social des Etats-Unis !


      • Yukimuras 25 juin 11:05

        @Buzzcocks
        Vous connaissez les proportions ? Quand on arrive à plus de la moitié de ponction sur nos revenus et en contre partie, des services publiques de plus en plus médiocres et délabrés, on peut se poser de légitimes questions ou c’est trop demandé ? 


      • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 25 juin 11:27

        @amiaplacidus
         
         ’’(@Seth

        ) Les anars de droites sont pessimistes, ceux de gauche sont optimistes.’’
        >
         Je ne sais pas si on peut dire des anarchistes qu’ils sont de droite, mais je soutiens mordicus contre Léo Ferré, qu’ils ne sont pas de gauche.
         
         Mais peut-être qu’être anar et être anarchiste c’est pas la même chose.



      • La Bête du Gévaudan 25 juin 16:08

        @Buzzcocks

        si vous avez « du pognon à ne plus savoir qu’en faire », n’hésitez pas à le donner aux pauvres... au lieu d’exiger que les autres donnent le leur, sans que vous sachiez s’ils en ont « à ne plus savoir qu’en faire » ni s’ils sont dépourvus d’imagination et d’initiative au point de « ne savoir qu’en faire »... 

        Il y a bien un problème de confusion psychique dans votre remarque... vous confondez votre gamelle (et votre orgueil) avec la gamelle des autres... c’est le gros problème des gauchistes... 

        Et comme vous le fait très justement remarquer un autre commentateur  : « Vous connaissez les proportions ? Quand on arrive à plus de la moitié de ponction sur nos revenus et en contre partie, des services publiques de plus en plus médiocres et délabrés, on peut se poser de légitimes questions ou c’est trop demander ? » 

        Si vous souhaitez donner 100% de votre argent au fisc et recevoir en échange un coupon de ravitaillement proportionné par un fonctionnaire bolchévique qui choisira ce dont vous avez légitimement besoin, n’hésitez pas à donner l’exemple ! On attend de vous regarder faire ! Si vous voulez vivre dans un phalanstère ou un goulag, ne vous gênez pas... mais de grâce, n’imposez pas votre délire aux autres. 


      • La Bête du Gévaudan 25 juin 16:16

        @Francis, agnotologue

        les gauchistes sont fondamentalement pessimistes... c’est même pour cela qu’ils veulent « réformer la société »... ils pensent que la liberté conduit à la servitude, que l’humanité court fondamentalement à sa perte... et que c’est pour cela qu’il faudrait une « dictature du prolétariat » pour sauver cette pauvre humanité (qui n’en demandait pas tant !)... 

        Les libertariens sont optimistes, car ils croient que l’échange libre conduit fondamentalement à l’enrichissement de toutes les parties et au progrès matériel, intellectuel et moral... que la loi doit se contenter de protéger les libertés et les propriétés... bref, le droit naturel... 

        Quant aux anarcho-socialistes, ils sont bizarres... ils veulent la liberté (c’est déjà un bon point) mais ils ne veulent pas la propriété (alors qu’elle est un pilier de la liberté). Un anarchiste conséquent est libéral (ou libertarien)... 

        Les anarcho-socialistes devraient lire Frédéric Bastiat, pour comparer avec Proudhon et consorts. Juste par probité intellectuelle, histoire de se faire leur propre idée pour comparer par eux-mêmes les deux systèmes... 


      • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 25 juin 16:17

        @amiaplacidus
         
         oui, je n’y pensais plus, à ces ’courants’. Est-ce parce que dans anarchisme il a anarchie, synonyme de bordel ?
        Je dirai que, au plan des utopies, un anarchiste est à l’anarchisme,
        ce qu’un socialiste est au socialisme,
        ce qu’un communiste est au communisme,
        ce qu’un libéral est au libéralisme. :
         
        Et pour paraphraser Béchamp, j’ajoute : l’idéologie n’est rien, le bonhomme est tout.
        Reste qu’en meute, l’idéologie prend le dessus, et le QI d’une foule ne vaut pas plus que le QI du maillon faible.


      • véronique 24 juin 16:31

        Bonjour Spartacus Lequidam,

        J’ai l’impression que vous n’avez pas choisi le bon pseudo... smiley


        • amiaplacidus amiaplacidus 24 juin 17:04

          @véronique
          Vous savez, on ne peut pas demander à des minus d’avoir, même un minimum, de culture.


        • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 24 juin 17:05

          @véronique
           smiley   smiley  smiley
          C’est surtout ceux qui s’en reclament qui ont déformé son histoire.
          Je rétabli l’equillibre.

          Les marxistes veulent y voir la lutte des classes, mais c’est une tartufferie.

          Spartacus est une personne qui lutte pour sa liberté, et qui entraine les autres à la prendre.
          C’est un héros de droite.


        • Seth 24 juin 17:29

          @amiaplacidus


          ne peut pas demander à des minus

          Je viens de discuter latin donc je continue : un minus est un « minus habens » : celui qui a moins (d’intelligence). C’était ainsi qu’on désignait un con à Rome.

          Je ne me retiens pas parce qu’ici les marxistes en prennent plein la gueule, aussi bien des OL que des fafs.  smiley

          Mais il fait reconnaît à Mossieu Lequidan d’être logique dans son raisonnement perverti. Je lui dénie néanmoins sa prétention d’être « Spartacus », tu comprendras bien pourquoi.  smiley


        • Seth 24 juin 17:33

          @Spartacus Lequidam

          Spartacus est une personne qui lutte pour sa liberté, et qui entraine les autres à la prendre.
          C’est un héros de droite.

          Vous en avez d’autres des comme ça, qu’on rigole un peu sur ce site planplan ?

          Je vous vois bien déguisé en Miss Piggie avec une perruque blonde, tournant votre en tête en star en rejetant sa chevelure sur l’épaule et disant "Pretentious, moi ?  smiley


        • véronique 24 juin 20:15

          @Spartacus Lequidam

          Spartacus aurait peut-être été de droite, tout le monde peut se tromper après tout, mais l’amour de la liberté n’est pas spécifique à la droite. La droite à mis cette notion de liberté en avant afin de donner une pseudo-légitimité au capitalisme. La liberté n’intéresse d’ailleurs la droite que sur le plan économique. Liberté d’entreprendre, liberté des échanges, ... et le moins de contrôle possible par l’État.


        • colibri 24 juin 20:42

          @Spartacus Lequidam
          il est pour la justice , les gens de gauche haissent ceux qui ont plus qu’eux croyant qu’ils l’ont volés ...


        • La Bête du Gévaudan 25 juin 03:13

          @Spartacus Lequidam : en effet, les gugusses gauchistes devraient relire leur Déclaration des Droits de 1793. Extraits : 

          Le but de la société est le bonheur commun. Le gouvernement est institué pour garantir à l’homme la jouissance de ses droits naturels et imprescriptibles. Ces droits sont l’égalité, la liberté, la sûreté, la propriété. (Articles 1 & 2). 

          La sûreté consiste dans la protection accordée par la société à chacun de ses membres pour la conservation de sa personne, de ses droits et de ses propriétés. (Article 8)
          La loi doit protéger la liberté publique et individuelle contre l’oppression de ceux qui gouvernent. (Article 9)
          Le droit de propriété est celui qui appartient à tout citoyen de jouir et de disposer à son gré de ses biens, de ses revenus, du fruit de son travail et de son industrie. Nul genre de travail, de culture, de commerce, ne peut être interdit à l’industrie des citoyens. (Articles 16 & 17)

          Nul ne peut être privé de la moindre portion de sa propriété sans son consentement, si ce n’est lorsque la nécessité publique légalement constatée l’exige, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité. (Article 19)

          Même dans cette « référence gauchiste » la propriété privée est consacrée... Le problème est que les gauchistes actuels ne comprennent pas que la propriété privée productive est le socle de la liberté populaire. 

        • Goldo Du 25 juin 08:04

          @Spartacus Lequidam
          « Spartacus est une personne qui lutte pour sa liberté, et qui entraine les autres à la prendre.
          C’est un héros de droite »
          La liberté de droite ?
          En dehors de la liberté d’exploiter les autres, je ne vois pas.


        • Fergus Fergus 25 juin 09:27

          Bonjour, véronique

          « La droite à mis cette notion de liberté en avant afin de donner une pseudo-légitimité au capitalisme »
          En effet, la liberté promue par les politiciens de droite est avant tout celle de pouvoir réaliser des profits sans entraves !


        • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 25 juin 10:19

          @Goldo Du
           alias goldoblack,
           
          ’’ La liberté de droite ?
          En dehors de la liberté d’exploiter les autres, je ne vois pas
          .’’
          >
          Le travail au noir c’est une façon d’exploiter les autres ou d’inciter ses clients à les exploiter, je parle ici de ceux qui paient des charges sociales. Dans un autre paradigme on dirait des passagers clandestins.
           
          Ps. la liberté n’est ni de droite ni de gauche :
          « Mes chers compatriotes, ne séparez jamais la liberté de l’égalité » François Mitterrand


        • Yukimuras 25 juin 11:11

          @Fergus
          c’est bien gentil mais quand les chaînes pésent plus lourdes que le bonhomme, difficile d’avancer. 
          On a un Etat obèse et très intrusif qui détruit le pays à petit feu. Cela reflète entre autre, la perte réelle de légitimité et autorité en légiférant sur tout les pans de nos vies au lieu de déjà accomplir correctement ses devoirs régaliens. Le pouvoir n’étant plus dans les mains de nos « gouvernants ».


        • Fergus Fergus 25 juin 11:34

          Bonjour, Yukimuras

          « On a un Etat obèse et très intrusif qui détruit le pays à petit feu »
          En effet. Et cela dans le cadre d’un processus qui dure depuis au moins un quart de siècle.
          Une période où, ironie de la situation, la droite velléitaire a été nettement plus souvent au pouvoir que la gauche molle.


        • Yukimuras 26 juin 10:54

          @Fergus
          Peu importe les marionnettes qui ont été au gourvement ces 30 dernières années, cela importait peu n’ayant plus de réels pouvoirs de décisions mais de vulgaires appliquants de directives. Gauche et droite n’ont plus de vrais différences depuis bien longtemps à part dans les discours creux. 
          Ce n’est que du théâtre pour gogos


        • amiaplacidus amiaplacidus 24 juin 17:05

          @l’auteur,

          Je ne vois aucune raison pour que vous soyez fier d’être con.


          • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 24 juin 17:07

            @amiaplacidus

             smiley  smiley  smiley   

            Une partie du texte « La censure systémique, arme de l’intolérance » vous concerne.

            « Cette intolérance de gauche ... incapable de répondre aux objections autrement que par des attaques personnelles »


          • amiaplacidus amiaplacidus 24 juin 17:23

            @Spartacus Lequidam

            Comme réponse, allez voir, plus haut, ma remarque à propos de Flaubert.


          • Buzzcocks 24 juin 19:52

            @Spartacus Lequidam
            Quand on publie des textes du genre, les gens de gauche, ils sont méchants et cons, les gens de droite, ils sont gentils .. ; vous espérez quoi avec des textes aussi binaires ? Oui, votre lectorat vous prend pour un bouffon. Vos textes sont débiles... je ne m’attaque pas à l’homme mais à votre prose. Dans une rédac de philo, vous auriez 3, pas plus. 
            Je sais qu’en sciences, vous êtes nuls, mais vous savez qu’il existe une branche des maths appelée la fuzzy Logic. Au lieu d’écrire des textes sans intérêt, plongez vous dans des livres et apprenez un peu à nuancer vos propos, douter, réfléchir etc... 


          • colibri 24 juin 20:45

            @Buzzcocks
            rien à tirer d’un mec de gauche comme vous qui ne comprend rien , 
            vous êtes jaloux c’est tout 


          • La Bête du Gévaudan 25 juin 03:17

            @Buzzcocks

            parce-que vous croyez que Rousseau il va avoir combien dans une rédac’ de philo avec des idées aussi débiles que « l’homme est naturellement bon et c’est la société qui le corrompt » ? 

            Et Karl Marx avec son « matérialisme historique dialectique » et son zéro pointé en économie... il va avoir quoi comme note ? 

            Les seuls gros scores de la gauche, c’est dans les génocides qu’elle commet...


          • Buzzcocks 25 juin 08:26

            @La Bête du Gévaudan
            En terme de génocides, vos potes ne sont pas manchots non plus.. mais bon, je connais déjà les réponses, Hitler était socialiste, Franco aussi, Pinochet également et Netanyaou un communiste, Bigeard qui torturait en Algérie, il était de la CGT aussi, je présume. 
            Bref, vous êtes un con à mettre les gens dans des petites cases, les gens ne sont pas blancs ou noirs... mais bon, quand on est binaire, la discussion est difficile.


          • La Bête du Gévaudan 25 juin 16:22

            @Buzzcocks

            Hitler était en effet socialiste... Franco et Pinochet, non... Netanyahou non plus... 

            par contre sur la torture en Algérie, ça a été organisé par qui ? Par vos amis de gauche, Mitterrand et compagnie... les militaires n’ont fait qu’appliquer les directives des ministres... C’est la gauche qui a organisé la répression en Algérie... et Mitterrand refusait toutes les demandes de grâce pour les peines de mort... 

            Il est vrai que les gauchistes sont des exploiteurs hypocrites bourgeois... ils organisent la répression dans les bureaux parfumés des ministères, et laissent les prolos de droite se salir les mains... Ils ne sont pas habitués à travailler les gens de gauche... juste à donner des leçons de morale « humaniste » entre deux génocides bolchéviques... 

            « L’Algérie c’est la France » (Mitterrand 1954, Ministre de l’Intérieur)


          • Octave Lebel Octave Lebel 24 juin 17:49

            Vous êtes sûr que vous n’êtes pas de gauche, même pas un tout petit peu. Même par inadvertance, à l’insu de votre plein gré. Allez un beau geste, vous allez rassurer beaucoup de monde smiley                 Sinon, en général, j’aime bien votre sens du gag (il y en a d’autres ici mais vous  avez indubitablement sur à peu près tous les sujets un style qui vous appartient) .Et surtout n’allez pas nous décevoir à l’avenir.

             


            • Eric F Eric F 25 juin 09:19

              @Octave Lebel
              La particularité de Lequidam, c’est que tout le monde se sent de gauche par réaction à ses propos. Même moi, c’est dire ! smiley


            • xenozoid xenozoid 24 juin 18:03

              ...Alors non, je ne serai jamais de gauche. Leur monde est une illusion utopique qui les a transformé en secte d’hypocrisie ; le mien, une quête de sens.....



               spartacus est en fait un religieux qui n’est jamais sortit du placard, et il est la toute gaite avec le gauchisme et tout ce qui n’est pas lui...il a peur


               mais qui est sparctacus ? une ia frustée,un gauchist qui ce cache ou un croyant de ce qu’il veux croire....



              Mais une meilleure réponse serait de demandé à sparctacus ce que serait un monde sans gauchisme sans utiliser le mot gauchisme ou une seule allusion a son existence, good luck sparta


              • colibri 24 juin 20:47

                @xenozoid

                le gauchisme c’est ne pas voir ce qui est ; la réalité 


              • xenozoid xenozoid 24 juin 20:54

                @colibri

                 ta réalité....,mais il n’y a pas besoint d’être gauchiste pour avoir une autre réalité 


              • xenozoid xenozoid 24 juin 21:01

                @colibri

                 j’ai travailler ou vécu avec tellement de différentes personnes. que la réalité m’interdit de les metre dans des boites...même si je m’authorise cela avec la hierarchy, là, je les met dans une boite


              • Je tiens à remercier l’auteur pour sa verve son excellent article !

                Les commentaires que je viens de lire démontrent qu’il a visé juste et frappé là où ça fait mal. J’avoue que c’est très réjouissant. Je me livre régulièrement à cet exercice, parfois uniquement par pure provocation.


                • Seth 24 juin 18:59

                  @Giuseppe di Bella di Santa Sofia

                  Giuseppe, vous aggravez votre cas. Mais e vous arrêtez pas : vos approbation répétées des commentaires de Gévaudan avaient déjà connoté grave.  smiley


                • @Seth

                  Cher Ami, 

                  Je n’aggrave rien du tout. Je vis juste ma vie comme je souhaite. C’est vrai que j’apprécie beaucoup les analyses et les commentaires de « La Bête du Gévaudan ». Je ne le cache pas. Je ne suis encarté dans aucun parti politique mais une chose est certaine : je ne voterai jamais plus pour la gauche, qu’elle soit « républicaine » ou non. 


                • La Bête du Gévaudan 25 juin 03:23

                  @Seth

                  Giuseppe, vous aggravez votre cas. Mais e vous arrêtez pas : vos approbation répétées des commentaires de Gévaudan avaient déjà connoté grave


                  toujours ce vieux fond de flic bolchévique, d’inquisiteur marxiste, de commissaire politique... aaaah vade retro satanas ! Il a « approuvé » un commentaire de la Bête du Gévaudan... et ce de manière « répétée » monsieur l’inquisiteur général ! ... le prévenu « aggrave son cas »... c’est un relapse ! Des feux et des géhennes ! ... des « connotations » suspectes sont apparues dans vos préférences Citoyen, méfiez-vous ! 

                  Après Torquémada, voici Béria et Vichinsky ou plutôt Fouquier-Tinville ? 


                • Eric F Eric F 25 juin 10:55

                  @Giuseppe di Bella di Santa Sofia
                  L’auteur ne force pas le trait par provocation, mais par militantisme libertarien. 
                  Or en France, le système social fait consensus depuis la Libération, ce qui différencie la gauche de la droite, ce n’est pas le principe mais l’ampleur, notamment la part d’assistanat par rapport à l’assurantiel cotisant-bénéficiaire. Le libertarianisme à l’américaine n’est pas dans notre tradition, mais comme tout ce qui est yankee, ça finit par contagionner. 


                • Yukimuras 25 juin 11:15

                  @Eric F
                  En même temps, on est arrivé à un tel stade de décomposition de notre Etat et caste politique qu’on en vient à vouloir faire table rase totale. 
                  Ce qui est compréhensible avec la corruption généralisée de nos « élites », on ne voit que des impasses et pas de solutions pour sortir de l’ornière. 


                • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 25 juin 11:15

                  @Eric F
                   
                   ’’ce qui différencie la gauche de la droite, ce n’est pas le principe mais l’ampleur, notamment la part d’assistanat par rapport à l’assurantiel cotisant-bénéficiaire.’’
                    >
                  Pour tous, c’est le besoin de sécurité qui s’oppose à la liberté.
                  Ceux qui ont de la fortune ou savent en avoir n’ont pas besoin de l’État pour assurer leur sécurité, sinon peut-être pour assurer leurs privilèges de fortunés.
                  Au contraire, ceux qui n’ont aucun capital à valoriser comptent sur la protection de l’État en échange d’une diminution de liberté, avec les extrêmes qu’ont connait.
                   
                  Je crois qu’une bronca contre les milliardaires se développe dans les pays saxons autour du mariage de Jeff Bezos, avec pour slogan : « si vous êtes capable de (acheter un yacht de 125 m, louer Venise, aller sur Mars, ...) alors vous pouvez payer plus d’impôts.  »
                   
                  Le capitalisme est un système qui enrichit les plus riches. C’est rhédibitoire. Le problème que j’expose ici n’est pas de juger du pourquoi ils sont riches, mais de mettre par un impôt juste, un bémol à l’indécence des niveaux stratosphériques des fortunes que certains régimes capitalisme permettent, quand ils ne les favorisent pas.


                • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 25 juin 11:15

                  @Eric F

                  Grosse erreur, la France a une culture et tradition de libéraux celebre assez impressionnante dont les libertariens actuels s’inspirent.

                  Jean-Baptiste Say, Frederique Bastia, Alexis de Tocqueville, Gustave de Molinari
                  ls sont plus connus dans le monde qu’en France. C’est même un drame !
                  Milton Friedman prenait souvent des références des libéraux Français.
                  Il a expliqué qu’il avait créé sa phrase « il n’y a pas de repas gratuit », « there is no free lunch » après avoir lu Bastia.

                • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 25 juin 11:24

                  @Francis, agnotologue

                  « Ceux qui ont de la fortune ou savent en avoir n’ont pas besoin de l’État pour assurer leur sécurité, »
                  Interesant !
                  La chose pourrait être expliquée autrement.

                  Apprendre a s’enrichir aux jeune serait plus productif pour la société que de vouloir vivre aux crochet des autres et en vouloir aux riches.

                  Bien leur expliquer que devenir fonctionnaire ou salarié ne les rendra pas riches, et que si ils choissisent cette voie, il ne faut pas en vouloir aux « riches » mais qu’a eux même.
                  Que l’investissement personnel sur soi même, a plus de sens.

                  Aujourd’hui, l’internet permet des zones de chalandises mondiales, l’IA, l’information est quasi gratuite. Une photo de 3 chatons vous rend multimilllionnaire.

                  La chine est dortie de la misère avec un slogan. « enrichissez vous » alors qu’en France pas un seul gauchiste ne pourrait prononcer ce slogan sans être conspué par ses disciples.


                • Eric F Eric F 25 juin 11:48

                  @Spartacus Lequidam
                  Qu’il y ait eu des auteurs libéraux français est exact, dans le cadre de la mentalité du 19ème siècle. Mais depuis lors la société, le tissu économique et les mentalités ont changé.
                  Alain Madelin a longtemps été le seul homme politique français se réclamant du libéralisme, et encore n’est-il pas opposé au principe de protection sociale. Le Macronisme comporte un courant libéral, notamment les young startupers des origines, influencés par le mondialisme. La contagion d’outre atlantique a plus de succès chez nos voisins que dans notre pays, au grand dépit de notre président. 
                  Il nous faudra certainement réduire la voilure du redistributionnisme notamment de l’assistanat sans devoirs, mais sans renoncer aux principes.


                • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 25 juin 12:06

                  @Spartacus Lequidam
                   
                   ’’ Apprendre a s’enrichir aux jeune serait plus productif pour la société que de vouloir vivre aux crochet des autres et en vouloir aux riches. ’’
                  >
                   Mais contrairement ce que vous croyez sinon vous professez, ce ne sont pas les pauvres qui tirent dans ce sens, ce sont les riches qui ne veulent pas qu’on divulgue les mille et une manières de faire de l’argent. C’est ce que l’on pourrait appeler l’obscurantisme libertarien.
                   


                • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 25 juin 12:12

                  @Spartacus Lequidam
                   
                   ’’ Milton Friedman prenait souvent des références des libéraux Français.

                  Il a expliqué qu’il avait créé sa phrase « il n’y a pas de repas gratuit » ’’
                  >
                  ’’Sa phrase ’’. Pfiou, ça c’est profond !
                   
                  Blague à part, énoncer une banalité en l’attribuant à une célébrité, ce n’est ps une citation : c’est de la bêtise fanatique.

                • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 25 juin 14:35

                  @Francis, agnotologue

                  « ce sont les riches qui ne veulent pas qu’on divulgue les mille et une manières de faire de l’argent »

                  Passer de la qualification de savoir faire un CV a un savoir un business plan necessite un effort, et aucun riche ne viendra t"en empecher. Pire ils viendrons t’aider.

                  Ceux qui n’osent pas, n’ont jamais essayé disent ces carricatures.
                  En 2025, avec Internet, les livres, le bon sens, celui qui fait les efforts peut le devenir.
                  Meme les chinois ont compris.


                • La Bête du Gévaudan 25 juin 16:29

                  @Spartacus Lequidam

                  Grosse erreur, la France a une culture et tradition de libéraux celebre assez impressionnante dont les libertariens actuels s’inspirent. Jean-Baptiste Say, Frederique Bastia, Alexis de Tocqueville, Gustave de Molinari... Les sont plus connus dans le monde qu’en France. C’est même un drame ! Milton Friedman prenait souvent des références des libéraux Français.

                  En effet ! Murray Rothbard aussi s’inspire beaucoup des libéraux français... Bastiat et Molinari ont en effet largement posé les bases de ce qu’on appelle aujourd’hui le « libertarianisme »... minarchisme pour Bastiat, anarcho-capitalisme pour Molinari...

                  Les gauchistes sont tellement incultes qu’ils ignorent tout cela... Et comme ils n’ont aucune curiosité intellectuelle, ils ne prendront jamais le temps de lire Bastiat pour se faire leur propre compréhension du débat... non, ils en resteront au catéchisme socialiste de leur enfance... esprits fermés, esprits sectaires... hélas ! (alors que nous, inversement, nous avons pris le temps de consulter Marx, Proudhon et cie.)

                  La France est une haute terre de la pensée libérale la plus pure... par bien des aspects, l’école libérale française est même bien plus profonde et rigoureuse que l’école anglaise... 


                • Eric F Eric F 25 juin 17:12

                  @Spartacus Lequidam
                  S’il n’y avait que des ’’entrepreneurs’’ sans les exécutants, il n’y aurait aucune production ni profit.
                  Il y a donc un équilibre des responsabilités et compétences à établir, et que la valeur ajoutée de l’activité soit partagée équitablement entre ceux qui investissent, qui organisent et qui produisent.
                  Reste alors à mettre le curseur sur ce qui est équitable et ce qui est abusif. Ainsi je peux comprendre que prélever massivement pour rémunérer l’oisiveté de ceux qui n’ont jamais travaillé alors qu’ils sont en capacité de le faire puisse faire tiquer. Mais rémunérer plus massivement encore les rentes de situation (enrichissement sans cause, au sens commun non pas juridique) devrait faire tiquer davantage encore, non ?


                • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 26 juin 09:43

                  @Eric F

                  Un « équilibre » des responsabilités ?
                  Et des pertes alors ? Parce qu’un salarié, pertes ou profits il est payé.


                • Eric F Eric F 26 juin 12:27

                  @Spartacus Lequidam
                  Responsabilité financière du capital qui apporte les moyens, responsabilité active du travailleur qui produit la valeur-ajoutée.
                  En terme de partage de risque, eh bien c’est celui de maintenir la pérennité de l’entreprise, si elle coule le capital perd ses fonds, le salarié perd son emploi.


                • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 26 juin 12:55

                  @Eric F
                   
                  ’’ En terme de partage de risque, eh bien c’est celui de maintenir la pérennité de l’entreprise, si elle coule , le salarié perd son emploi.’’
                  >
                  le capital perd ses fonds

                   ? le capital est les fonds, non ?
                  Que voulez vous dire exactement ? Vous pouvez précisr ?


                • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 26 juin 12:55

                  @Eric F

                  Helas le travaileur ne produit pas la « valeur ajoutée ». Il produit son « salaire ».
                  Ce n’est même pas l’actionnaire qui produit la valeur ajoutée.
                  Vous reprenez une romance de politicien pour flater l’égo des travailleurs et acheter leur vote.

                  Il n’y a qu’une chose qui produit la valeur, c’est l"échange. POINT. Que cela et rien, rien d’autre.

                  Le salarié ne travaille que pour son salaire à la fin du mois. Et rien d’autre.


                • mursili mursili 24 juin 20:35

                  Quel bonheur de se foutre royalement de la gauche et de la droite, des Guelfes et des GIbelins, des Capulets et des Montaigus, des tories et des whigs...


                  • Octave Lebel Octave Lebel 24 juin 21:03

                    Allez un peu d’air frais, de calme et de sérénité pour ceux qui veulent savoir et comprendre en se faisant tranquillement, pas à pas, leur propre idée. C’est cela tâchez d’être un citoyen en mesure de contribuer à notre sort commun du mieux possible, en toute responsabilité autant que nous puissions l’être.

                    Surprenant, une gauche sans-faux-semblant, parlant tranquillement le langage de la responsabilité avec un haut-niveau d’information et de pertinence sur les sujets concernés comme on nous le donne à voir très rarement. Mais où sont les caricatures habituelles ? On se demande comment cela se fait que nous n’ayons pas plus souvent ce genre d’entretien, de simplicité et de clarté ? À voir pour nous reposer de toute la confusion et le stress que les médias nous imposent tous les jours et de tous les entretiens standards dont d’autres politiques semblent ne pas pouvoir se passer. 

                    → Le monde est en train de basculer – Jean-Luc Mélenchon invité de RFI(20 juin 2025 , 40 mn)

                    https://melenchon.fr/2025/06/20/le-monde-est-en-train-de-basculer-jean-luc-melenchon-invite-de-rfi


                    • La Bête du Gévaudan 25 juin 03:40

                      À quelle hauteur au-dessus du reste de l’humanité se place ici Robespierre ! Et remarquez la circonstance dans laquelle il parle. Il ne se borne pas à exprimer le vœu d’une grande rénovation du cœur humain ; il ne s’attend même pas à ce qu’elle résultera d’un gouvernement régulier. Non, il veut l’opérer lui-même et par la terreur. Le discours d’où est extrait ce puéril et laborieux amas d’antithèses avait pour objet d’exposer les principes de morale qui doivent diriger un gouvernement révolutionnaire. Remarquez que, lorsque Robespierre vient demander la dictature, ce n’est pas seulement pour repousser l’étranger et combattre les factions ; c’est bien pour faire prévaloir par la terreur, et préalablement au jeu de la Constitution, ses propres principes de morale. Sa prétention ne va à rien moins que d’extirper du pays, par la terreur, l’égoïsme, l’honneur, les usages, les bienséances, la mode, la vanité, l’amour de l’argent, la bonne compagnie, l’intrigue, le bel esprit, la volupté et la misère. Ce n’est qu’après que lui, Robespierre, aura accompli ces miracles, — comme il les appelle avec raison, — qu’il permettra aux lois de reprendre leur empire. — Eh ! misérables, qui vous croyez si grands, qui jugez l’humanité si petite, qui voulez tout réformer, réformez-vous vous-mêmes, cette tâche vous suffit. (...) 

                      Il faut le dire : il y a trop de grands hommes dans le monde ; il y a trop de législateurs, organisateurs, instituteurs de sociétés, conducteurs de peuples, pères des nations, etc. Trop de gens se placent au-dessus de l’humanité pour la régenter, trop de gens font métier de s’occuper d’elle. 

                      Frédéric BASTIAT, in La Loi


                      • Eric F Eric F 25 juin 11:05

                        @La Bête du Gévaudan
                        Le paradoxe, c’est que Robespierre avait déclaré « Personne n’aime les missionnaires armés » il parlait alors de la guerre pour porter la révolution à l’étranger, mais il n’a pas appliqué cela à la guerre intérieure pour imposer la révolution à son propre peuple.

                        Plus personne -ou presque- ne soutient les excès de la Terreur, du stalinisme ni du polpotisme, il ne faut pas caricaturer les idées sociales en les réduisant à des tyrans. Même le PCF a renoncé au grand soir et à la dictature du prolétariat. 


                      • jakem jakem 25 juin 13:35

                        @Eric F
                        « Plus personne ( ou presque ) » , vraiment ?  

                        Je pense que vous auriez dû écrire : « presque plus personne .... » en regardant vers la G.


                      • La Bête du Gévaudan 25 juin 16:41

                        @Eric F

                        Robespierre « l’humaniste » a commencé par génocider son propre peuple, comme Staline, Mao et Pol-Pot... il y a un problème fondamental dans la doctrine socialo-collectiviste... il faudra bien finir par le reconnaître et le comprendre... 

                        Si, il y a des gens qui s’en réclament... à commencer par ce gros social-raciste de Mélenchon qui rêve plus ou moins de génocider les « Français de souche » pour faire advenir le « surhomme créole »... 

                        Les délires de ce genre continuent hélas d’agiter les esprits fermentés des collectivistes... avec toujours les mêmes solutions : dictature et massacre. 

                        Face à cela, la pensée libérale d’Edmund Burke et Frédéric Bastiat est plus que jamais d’actualité... précisément parce-que ces penseurs ont vu dès leur époque à quelles mécanismes inéluctablement autoritaires et violents conduisait le collectivisme moderne... Et après le XXème siècle, il serait temps de lire ces auteurs qui avaient vu juste, au lieu de continuer de le prendre pour des vieux schnocks... 


                      • La Bête du Gévaudan 25 juin 17:05

                        @Eric F

                        toute personne honnête qui critique le libéralisme (c’est sa liberté) devrait avoir cependant lu quelques ouvrages de Bastiat auparavant (histoire de savoir de quoi il retourne) : 
                        — La Loi 
                         Propriété et Loi 
                         Justice et Fraternité 
                         L’Etat
                         Gratuité du crédit (correspondance Bastiat / Proudhon) 
                         Sophismes économiques (piocher librement dedans, ce sont de petites anecdotes). 

                        Chacun dure à peine 15 à 50 pages... le tout doit faire 200 pages, qui se lisent très aisément (style clair et accessible au profane en matière économique)... tout ça pour avoir une idée crédible des bases philosophiques et économiques du libéralisme... histoire de savoir pourquoi être pour ou contre ! 

                        Le problème est que tout le monde parle du libéralisme sans avoir souvent la moindre idée de quoi il s’agit... 


                      • La Bête du Gévaudan 25 juin 17:11

                        @Eric F

                        Imaginez que, dans chaque commune, il y ait un bourgeois, un seul, ayant lu Bastiat, et que ce bourgeois-là soit respecté, les choses changeraient !

                        Lettre de Gustave Flaubert à Georges Sand


                      • Eric F Eric F 25 juin 17:30

                        @La Bête du Gévaudan
                        Je ne suis pas LFIste, ayant été du coté des barragés et non des barragistes. Toutefois je ne pense pas que Mélenchon soutienne les abus de la terreur, mais se positionne sur les principes et intentions. Son propos n’est pas génocideur (même symboliquement) mais universaliste, décolonialiste, indigéniste. Qu’il en fasse trop et que cela passe désormais pour lui au dessus de l’intérêt national et des valeurs républicaines est exact, c’est du reste ce qui m’a conduit comme beaucoup à m’éloigner de ce secteur politique. 
                        Je déplore néanmoins que notre époque régresse par rapport à l’équilibre du libéralisme social de la seconde moitié du 20è siècle, pour en revenir à un libéralisme plus inégalitaire du siècle antérieur.


                      • La Bête du Gévaudan 25 juin 03:51

                        Chacun de ces Décius a un plan qui doit réaliser le bonheur de l’humanité, et tous ont l’air de dire que si nous les combattons, c’est parce que nous craignons ou pour notre fortune, ou pour d’autres avantages sociaux. Non ; nous les combattons, parce que nous tenons leurs idées pour fausses, leurs projets pour aussi puérils que désastreux. Que s’il nous était démontré qu’on peut faire descendre à jamais le bonheur sur la terre par une organisation factice, ou en décrétant la fraternité, il en est parmi nous qui, quoique économistes, signeraient avec joie ce décret de la dernière goutte de leur sang.

                        Mais il ne nous est pas démontré que la fraternité se puisse imposer. Si même, partout où elle se manifeste, elle excite si vivement notre sympathie, c’est parce qu’elle agit en dehors de toute contrainte légale. La fraternité est spontanée, ou n’est pas. La décréter, c’est l’anéantir. La loi peut bien forcer l’homme à rester juste ; vainement elle essaierait de le forcer à être dévoué.

                        Ce n’est pas moi, du reste, qui ai inventé cette distinction. Ainsi que je le disais tout à l’heure, il y a dix-huit siècles, ces paroles sortirent de la bouche du divin fondateur de notre religion : « La loi vous dit : Ne faites pas aux autres ce que vous ne voudriez pas qui vous fût fait. Et moi, je vous dis : Faites aux autres ce que vous voudriez que les autres fissent pour vous ».

                        Je crois que ces paroles fixent la limite qui sépare la Justice de la Fraternité. Je crois qu’elles tracent en outre une ligne de démarcation, je ne dirai pas absolue et infranchissable, mais théorique et rationnelle, entre le domaine circonscrit de la loi et la région sans borne de la spontanéité humaine.

                        Frédéric BASTIAT in Justice & Fraternité


                        • jakem jakem 25 juin 08:24

                          Une saine et bonne synthèse !


                          • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 25 juin 09:11

                            Bonjour,

                             Il faudrait remettre des définitions sur ce qu’est l’idéologie de gauche.

                            En politique, « être de gauche » fait référence à une position idéologique qui met l’accent sur l’égalité sociale, la justice sociale et le progrès. Les partis et mouvements de gauche cherchent souvent à réduire les inégalités, à améliorer les conditions de vie des plus défavorisés et à transformer la société dans un sens plus égalitaire. 

                            1. L’égalité sociale est pour moi une utopie, sens égalitaire

                              . : je suis de droite.

                            2. La justice des hommes est nécessaire ; : de gauche
                            3. Un fan du progrès : de gauche et pas du tout conservateur.

                            Le reste est parlé de brol en compote comme on dit chez nous.


                            • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 25 juin 11:25

                              @Réflexions du Miroir

                              Milei a une definition simple.
                              C’es une maladie de l’ame du ressentiment envers les autres.


                            • jakem jakem 25 juin 12:53

                              Les gauchistes prônent « l’oummanisme » ( très bonne trouvaille lexicale de Céline Pina ) ....


                              • jakem jakem 25 juin 13:52

                                L’oummanisme gauchiste se déploie dans toutes les directions pour détruire la France : la censure toujours à la radio et à la télé ( le Guénolé ourdit un processus pour faire interdire Cnews ), dans les universités, dans les librairies, etc ...

                                 Et jusqu’à la requalification du français en « langue créole ».
                                ( lire à ce propos dans Le Figaro les analyses du linguiste Szlamowicz qui s’y connait certainement mieux que le Méluche et Cie )

                                Je ne serais pas étonné d’apprendre par le même exécrable ( pas le linguiste ) que le célèbre dictionnaire que nous avons tous utilisé a été inventé par le lexicographe arabe Ibn Ben Lah Rouss dont nous avons volé l’idée et le nom ( en le francisant secrètement ), tout comme le fer qui a servi à construire la Tour Eiffel.

                                Il ne serait pas non plus étonnant qu’un islamisant Verdeux affirme ( ou : affirmât, si vous voulez ) que nos vaches ont été pillées en Algérie et ramenées en France.


                                • Eric F Eric F 25 juin 17:44

                                  @jakem
                                  ’’le lexicographe arabe Ibn Ben Lah Rous’’ dont la devise était ’’j’essaime à tout vent’’. 
                                  Ceci étant, L’invention du dictionnaire, au sens d’un recueil définissant les mots avec leur signification date de la Mésopotamie au IV millénaire avant notre ère, ça ne vient pas des arabes mais de leurs ancêtres...


                                • jakem jakem 25 juin 20:32

                                  @Eric F
                                  Ah, oui ! Les Lémuriens et les Acadiens dont les descendants se sont installés à New Orleans !  Ils ont aussi inventé le rock et rôle et le surf sur le Mississipi avec des bateaux à vapeur.
                                  Je l’ai lu dans Tom Sawyer.


                                • sylvain sylvain 25 juin 19:08

                                  Il faut rien avoir compris pour pouvoir dire que les libertariens sont contre l’etat, les libertariens sont pour un etat pur, c’est a dire contre tout ce qui en fait autre chose que le leviathan de hobbes.

                                  Et puis les capitalistes, faudrait arreter de se plaindre qu’on vous prend votre pognon, parce que quand on vous l’a pris, il n’est plus a vous et c’est un truc que vous ne devriez pas pouvoir ignorer


                                  • agent ananas agent ananas 27 juin 11:47

                                    Encore un dinosaure qui fonctionne avec le logiciel du 20 ème siècle.

                                    Faut il rappeler que la Chine (communiste) à sorti des centaines de millions de personnes de la misère ?, ... alors que Macron (le Beethoven de la dette) entraîne peu à peu la France vers une tutelle du FMI ?

                                    Pour l’anecdote, au milieu des années 2000 j’avais rencontré à Shanghai une businesswoman avec une émeraude aussi grosse qu’une boite d’allumettes.


                                    • Jason Jason 29 juin 11:49

                                      Quel bonheur d’âtre ignorant ! Qui dira la joie de dormir sur le mol et doux oreiller du non-savoir et d’être le perroquet de ce qu’on entend depuis plus de cent-cinquante ans ?


                                      Si vous ne savez pas lire, c’est pas grave, il y a toujours des possibilités de rattrapage.

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