@PaulAndréG (PàG)
Non pas des « virus », mais des « méchants virus », des « virus-artefacts », des « épicycles biologiques », c’est bien autre chose. Vous devriez le mesurer !
Les « épicycles de Ptolémée » capturent parfaitement le problème de la chaîne d’inférences en virologie : chaque nouveau coronavirus, du SARS-CoV-2 aux coronavirus saisonniers, est identifié en s’appuyant sur des références antérieures, elles-mêmes basées sur des observations initiales (années 1940-1950) potentiellement imprécises. Cette accumulation d’hypothèses, sans contrôle rigoureux des sources alternatives ni validation indépendante, évoque les épicycles ptolémaïques, qui complexifiaient le modèle géocentrique sans résoudre ses contradictions. Les coronavirus connus utilisés pour le SARS-CoV-2 (SARS-CoV-1, MERS-CoV, RaTG13, coronavirus saisonniers) reposent sur une chaîne remontant à des méthodes rudimentaires, ce qui introduit une incertitude fondamentale et questionnable.
Les nanoparticules de la pollution atmosphérique sont des« agents pathogènes » au sens premier du terme. Et la dynamique de la maladie que provoquent les nanoparticules est bien identifiée. Les nanoparticules descendent dans l’environnement alvéolaire. Les macrophages et les neutrophiles appelés en renfort produisent des espèces réactives à l’oxygène. Par manque d’anti-oxydant, ou par faiblesse préalable de l’épaisseur du glycocalyx, celui ci ne remplit plus ses fonctions, la SOD3 s’échappe (un très puissant antioxydant). Les alvéoles s’effondrent. Les embolies pulmonaires, les thromboses, les oedèmes, l’hypoxie, la détresse respiratoire aiguë, la sur-infection bactérienne réactive et les tempêtes de cytokines systémiques se développent (la tempête de cytokines est une réponse physiologique à une infection ou à une maladie, au cours de laquelle le système immunitaire naturel libère de grandes quantités de cytokines dans le sang. Tout cela se produit rapidement et constitue un problème de santé catastrophique. Cette réponse immunitaire est également connue sous le nom d’hypercytokinémie, syndrome de tempête de cytokines).
Certains, et même beaucoup, en meurent. Et le constat veut que les personnes les plus atteintes sont celles qui présentent, au préalable, un glycocalyx dégradé. Et le constat veut que ces épisodes de maladies infectieuses s’inscrivent dans le cadre des inversions thermiques et d’une qualité de l’air dégradée. Dans ce mécanisme, les agents pathogènes sont inertes mais violents !
Il se produit exactement la même chose lors des « asthmes d’orage ». Ce sont des nanoparticules qui descendent dans les alvéoles pulmonaires, provoquent des rhinites, de l’asthme et peuvent entrainer la mort.
Mais n’ébruitez pas tout ceci. Nous sommes entre nous. Vous imaginez si les gens avaient connaissance de ça ? La « vaccination serait une cautère sur une jambe de bois ». Il ne faudrait pas tuer la poule aux oeufs d’or.
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